-Du bien et du mal. La question hante bien des traditions, bien des quêtes, elle possède même le catholicisme jusqu'à la pathologie au contraire d'une orthodoxie qui a préféré se consacrer à la question de l'immortalité et de la divinisation de l'homme.
Michel Cazenave, en gnostique, prend le risque de la Chute et de la chute.
-Conscient que le mot doit dissoudre le mot, que Sophia s'approche par le Nu absolu, Michel Cazenave nous offre une méditation incertaine, traduction de l'errance de la queste, qui oblige à accepter la cruauté salutaire de celle-ci : l'extrême lucidité.
D'intuition en perception, Michel Cazenave dit son chemin, un chemin, toujours le même néanmoins :
"Cicatrice de Dieu que referme la femme.
Dans la femme, Sophia.
Dans Sophia, la Sagesse.
Par l'incréation de l'Amour."