Les différents visages du soufisme

Nombreux sont les hommes qui, de nos jours encore, tournent leur regard vers Dieu et tentent de s’en faire les serviteurs… L’Islam connait en son sein différentes branches, différents courants, et ce qui constitue sa "quête intérieure", volet initiatique et contemplatif que l’on nomme "soufisme", n’échappe pas, non plus, à cette pluralité. Ainsi de la pointe occidentale du Maroc jusqu’à l’Indonésie, en passant par l’Egypte ou l’Iran, de multiples confréries coexistent à l’ombre d’un Islam "extérieur". Comment cohabitent-elles avec le juridisme - parfois ostentatoire - de l’Islam ? Au-delà de cette diversité géographique et linguistique : qu’ont-elles réellement en commun ?

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La contemplation de Dieu ne peut-être qu’universelle.

Depuis plus de vingt ans, Slimane Rezki fréquente (en France et en Algérie) ces confréries mystiques appelées "tariqa". Au delà de sa propre filiation à l’une des branches du soufisme qualifiée de "guénonienne", il a accepté de répondre de manière globale et objective, à nos questions et ainsi relever ce qui ressemble à une "gageure" : nous présenter les différentes facettes du soufisme.

Depuis de nombreuses années, beaucoup d’occidentaux se sentent appelés par cet Islam "intérieur et ésotérique".Trouvent-ils dans le soufisme la réponse "à cette recherche des fondamentaux communs à toute l’humanité" ? 

Est-ce ce souffle de tolérance qui les attire, et qui, comme nous-le rappelle Slimane Rezki , fit dire au prophète : "je ne dis rien de nouveau, je ne fais que rappeler toute la sagesse primordiale qui était avant moi"…

Ce terme, "avant", devons-nous le comprendre comme une invitation à un recentrement intérieur ? A retrouver, au plus profond de nous, une axialité que nous aurions perdue ?
Eléments de réponse dans cette interview, passionnante, de Slimane Rezki par Daniel Shoushi.



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