C’est dans l’obscurité que naît la lumière : Mars, Jupiter et Saturne en rétrogradation 3/4

La façon dont j’agis personnellement (Mars), au contact des autres (Jupiter) et le périmètre de ce champ d’action (Saturne), constituent trois piliers existentiels dans la vie de chacun d’entre nous. Nos deux films précédents portaient sur l’interprétation des rétrogradations des planètes dites intérieures*, Mercure (« je pense ») et Vénus (« j’aime ») : abordons à présent les planètes dites extérieures mais visibles à l’œil nu, Mars, Jupiter et Saturne. Si les termes « extérieur » et « existentiel » commencent par le même préfixe « ex », gardons-nous néanmoins de procéder à une lecture simpliste et EXotérique de ces influences !

Pour visionner ce film ajoutez le au panier ou
abonnez-vous pour un accès à tout le catalogue !
51:36
À partir de 12 € / mois
VOD / 15 €

En effet, la rétrogradation d’une planète suppose qu’elle n’est alors pas dans son parcours « direct », mais au contraire stationnaire, voire rétrograde. Un état de fait, d’ordre astronomique, qui implique nécessairement une lecture subtile. Et intérieure.

verrier mars 1verrier mars 2

Pour chaque rétrogradation deux idées importantes : 1, elle se produit au moment où la planète se trouve au plus proche de la Terre ; et 2, un « labourage » méthodique du zodiaque se déroule alors : trois passages successifs sur une même bande zodiacale, la « boucle de rétrogradation ».

Action/énergie, sociabilité et responsabilité seront les trois jalons de la présente intervention de Gilles Verrier. Trois jalons qui seront abordés ici autant dans un thème de naissance qu’en progressions secondaires et qui renverront, dans l’approche jungienne qui est celle de Gilles Verrier, à trois imago (représentation psychiques souvent inconscientes) : « Moi », « les Autres » et « Papa ».

verrier mars 3verrier mars 4

« C’est dans l’obscurité que nait la lumière, et non l’inverse » Carl Gustav Jung. Quid d’une fonctionnalité planétaire ?

Un terme revient souvent dans cet exposé, celui de « fonctionnalité planétaire ». Ainsi, selon Gilles Verrier, que ce soit pour Mars, Jupiter ou Saturne (dont, rappelons-le, les énergies sont très différentes, revoir si besoin nos différents films réalisés précédemment) ces boucles de rétrogradations correspondent à trois phases d’évolutions distinctes. Trois « rendez-vous célestes » qu’il nous est donner d’intégrer et, si possible, de positiver.

Première boucle : on expose le problème. Identification.
La deuxième : on intériorise celui-ci et tente d’amorcer une réponse, une solution. Clarification.
La troisième (passée celle-ci, la planète reprend ensuite sa course en direct, fermeture de la fenêtre/boucle) : « je mets en acte, je me différencie, j’agis autrement afin de gérer au mieux ce que cette fonctionnalité planétaire a créé en moi ». Individualité et responsabilité.

(Re)trouver la confiance en soi, mieux connaitre la nature spécifique, et profonde, de son être se font souvent à l’occasion de crises, de remise en questions existentielles.
Et si ces rétrogradations étaient in fine une formidable opportunité pour abraser tous ces conditionnements socio-culturel (Jupiter). Assainir ce flot d’injonctions conscientisées ou non « y-a qu’à, faut qu’on » (Saturne) ?

Mars/Action, « courroie de transmission du Soleil », apparait ainsi comme l'outil de fluidification - et de rétablissement - de cette harmonie, tant cosmique qu’intérieure…

* « intérieures » car se situant à l’intérieur du cercle Soleil-Terre.

Détail de notre collection sur les planètes en rétrogradation :
Les deux visages de Mercure rétrograde : les identifier et les interpréter 1/4
Vénus Lucifer et Vénus Hespérus : une palette de sentiments bigarrés 2/4
C’est dans l’obscurité que nait la lumière : Mars, Jupiter et Saturne en rétrogradation 3/4

Neptune, Uranus, Pluton en rétrogradation 4/4

Haut