La métapsychique comme transformateur social

La métapsychique : un chamanisme expérimental ? Dans une société qui érige sans relâche de nouveaux totems, de nouvelles « têtes de gondoles » ; actuellement, elles se nomment « sorcières » ou « chamanes », en éludant systématiquement les spécificités singulières et compétences que ces domaines requièrent (ici, la connaissance de l’herboristerie, l’astrologie, la transe, la lignée des ancêtres, etc. ), et délivrant ainsi des produits uniformes, lisses, « où toute dimension subversive a disparu » : quelle place occupe la métapsychique dans le champs actuel des sciences psychiques ?

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52:20
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Thomas Rabeyron, psychologue clinicien, nous dresse ici un tableau exhaustif des rapports qui, depuis Charcot unissent, séparent, voire opposent « psychologie », « parapsychologie », « hypnose » et « métapsychique ».

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Quand minimaliste et réductionnisme freinent les recherches sur les mystères de la Psyché

Le monde scientifique, depuis le positivisme d’Auguste Comte, cherche à séparer l’observateur de l’observé, et « ainsi, découper le réel, par la technique, pour mieux le comprendre ». Pour Thomas Rabeyron, cela conduit à un réductionnisme tout juste bon pour servir de caisse de résonance aux aboiements des zététiciens.

Souhaitez –vous découvrir les spécificités de la métapsychique, son côté subversif (ou sulfureux ? cf. son acceptation de principe d’une intelligence inconnue, possiblement « non humaine », NDLR) qui tend à affirmer, comme les peuples premiers, que nous sommes tous reliés les uns aux autres… Dans le temps et dans l’espace.

Un enregistrement effectué au siège de l’IMI, Paris, Institut Métapsychique International, que nous remercions.

Nota Bene : cet exposé suit l’exposé de Bertrand Méheust « Jean Jaurès et la parapsychologie » et les dix premières minutes de ce film sont consacrées aux questions que Thomas Rabeyron adresse à Bertrand Méheust.

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