Neptunium, Uranium et Plutonium

Saviez-vous que Mars la rouge, associée au fer par des savants qui ne disposaient pas de notre technologie, doit sa couleur à la présence d’oxyde de fer à sa surface ? Les mots uranium et plutonium nous sont familiers, mais saviez-vous qu’il existe aussi un élément nommé le neptunium ? Plus intrigant peut-être, auriez-vous soupçonné que ces éléments pouvaient être employés à des fins thérapeutiques ?

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La tradition astrologique, basée sur le principe de l’analogie, nous a légué une connaissance des correspondances entre les planètes, les dieux de la mythologie gréco-romaine, et divers éléments naturels, dont les métaux. Toutefois, les anciens ne connaissaient que le septénaire, c’est-à-dire les cinq planètes de Mercure à Saturne (dernière planète visible à l’œil nu), auxquelles s’ajoutent les deux luminaires, le Soleil et la Lune. L’héritage de nos anciens s’arrêtait là.
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Ayant pu tester la validité de ces correspondances à travers ses recherches en homéopathie, Didier Lustig s’est alors naturellement interrogé sur les métaux qui pourraient correspondre aux planètes dites « trans-saturniennes », ainsi nommées parce qu’elles se trouvent au-delà de l’orbite de Saturne, et n’ont donc été décelées que grâce à nos télescopes modernes : Uranus (1781), Neptune (1841), et Pluton (1930).

Pas besoin d’aller chercher bien loin : en effet, l’uranium fut découvert en 1789, soit quelques années après Uranus et donc nommé à sa suite, de même pour le neptunium et le plutonium, chacun nommé d’après la planète découverte quelque temps avant. Ce sont des éléments radioactifs, classés dans une rangée à part du tableau de Mendeleïev.
D’emblée, nous voici face à des astres et à des atomes qui sortent quelque peu de l’ordinaire. Mais quelle est au juste leur portée symbolique, opérative, sur nos rêves par exemple ?

Dans cette quête, Didier Lustig nous révèle les effets troublants de granulés de plutonium ou neptunium, obtenus selon les procédés homéopathiques habituels.
Par ces résultats plutôt éloquents, la modernité vient enrichir la Tradition. S’il y a bien des façons d’interpréter l’axiome d’Hermès Trismégiste qui fonde l’astrologie, selon lequel « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », les données collectées par ces expériences l’illustrent ici en mettant en miroir l’infiniment grand et l’infiniment petit, nous entraînant aux toutes dernières limites du système solaire, de la matière elle-même…et peut-être même de l’humain tel que nous le concevons.

Un exposé de 43 minutes enregistré au Forum 104.

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